Déjà 5 ans depuis que je vous emmenait des boosts à l'Hôpital. Cela me peine que vous n'êtes plus parmi nous. Je vous visualise encore en face de chez moi. Vous vous êtes occupé de moi comme si vous étiez mon père dès mon arrivée. Mon état était fragile après un divorce et vous m'avez avec Mme Loiselle, acceuilli si chaleureusement.J'avais deux anges qui veillaient sur moi en face. La raison d'écrire aujourd'hui est que même si j'étais à vos funérailles, je n'ai pu transmettre mes sympathies à tous les membres de votre belle famille. A chacun et chacune de vos enfants, vous aviez de merveilleux parents pour qui j'aurai toujours un petit coin spécial dans mon coeur. A l'époque, je ne savais pas que je pouvais transmettre un mot de sympathies ici.

Denise Morin